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Nous sommes les Indigènes de la République
Un ouvrage qui revient sur les sept ans d'existence des Indigènes de la République à travers une anthologie de textes et des entretiens...
EN SAVOIR PLUS...Réseau décolonial européen
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Archives de catégorie : Auteurs
Un militant du MRAP a eu la malencontreuse idée d’employer la formule « PS blanc », déchaînant une gigantesque campagne de dénonciation au sein de l’association antiraciste. Il n’y a pourtant nulle trace de racisme dans cette formule. Elle se contente de prendre acte de la nature postcoloniale du système politique et de ses différentes composantes. Le PS est blanc, comme est blanc l’ensemble du champ politique dont est exclue cette frange de la population qui a pour stigmate de n’être pas blanche ou de n’être pas considérée comme telle du fait de son origine coloniale.
Publié dans Actualités, Actus PIR, Sadri Khiari
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L’Appel dit :
« Le traitement des populations issues de la colonisation prolonge, sans s’y réduire, la politique coloniale. (…) La figure de l’« indigène » continue à hanter l’action politique, administrative et judiciaire ; elle innerve et s’imbrique à d’autres logiques d’oppression, de discrimination et d’exploitation sociale. (…) La République de l’Egalité est un mythe. »
Publié dans Actualités, Actus PIR, Sadri Khiari
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La marche du 8 mai, et ses milliers de manifestants, préfigure le mouvement indigène autonome qu’il nous faudra construire. Le texte qui suit est une contribution dans ce sens….
Publié dans Actualités, Actus PIR, Sadri Khiari
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L’appel « Nous sommes les indigènes de la République », que nous avons signé suscite des réactions très contrastées.
Publié dans Actualités, Archives, Sadri Khiari
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13 mai 58 à Alger, place du Gouvernement : des musulmanes montées sur un podium pour brûler leur voile. L’enjeu de cette mise en scène est de taille : il faut pour les autorités coloniales que les femmes algériennes se désolidarisent du combat des leurs. Leur exposition sert de langage : celui d’une puissance coloniale qui oeuvre pour gagner les femmes à l’émancipation et à la pérennité de la « civilisation française ». Réaction épidermique de la société algérienne : maintenir – et c’est vital – les femmes hors de l’invasion coloniale pour préserver l’être algérien. « Certaines, décrit Franz Fanon, dévoilées depuis longtemps reprennent le voile affirmant ainsi qu’il n’est pas vrai que la femme se libère sur l’invitation de la France et du Général de Gaulle ».
Publié dans Houria Bouteldja, Non classé
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