Naturellement, il n’ y a pas d’échappatoire à l’interrogation sur la préparation des forces opposées à la normalisation de guetter là, une opportunité historique pour sa révision, et de ne pas obéir rapidement aux tentatives de contenance actuelles, il paraît que l’Amérique et ses alliées en Occident et en Orient sont exposés à la même convergence d’idées, mais sous forme d’obsessions et d’appréhension de la perte de l’héritage de normalisation, et la région connaît une offensive diplomatique américaine et occidentale depuis la conférence de Charm Al Cheikh pour le repeuplement jusqu’à aujourd’hui.
L’administration Américaine précédente était arrivée à la conclusion que l’autorité palestinienne, seule, était incapable d’aboutir à une transaction pour une solution durable avec Israël selon les conditions de ce dernier et au contrôle de la place palestinienne en même temps.
C’est pour cela, qu’elle a « encouragé » les états Arabes qui lui sont alliés, à jouer un rôle plus efficace et plus ferme dans le soutien au processus des négociations en cours, dans le renforcement des appareils sécuritaires palestiniens, dans l’encerclement et la lutte contre la résistance aussi bien palestinienne que régionale. Comme ce fut le cas à Annapolis et ailleurs. Sauf qu’elle n’a pas pris les intérêts de ses alliés en considération.
Les poussant même à des confrontations et à un état d’autodéfense permanent au niveau de leur opinion publique. Prenez par exemple sa position lors de la guerre contre le Liban en 2006, son boycottage injustifié du sommet de Damas en mars 2008, et sa participation au blocus de la bande de Gaza, ainsi que du sommet de Doha Sur Gaza.
Comme pour tout époque,il y a un état et des hommes, il s’est distingué dans le cadre de ces missions, de l’intérieur des régimes établis, des personnes et des personnalités, des appareils, des intellectuels et des figures médiatiques d’un genre prêt à s’impliquer dans une compromission « engagée » avec Israël et l’Amérique pour combattre la voie de la résistance.
Mais la structure des régimes et leur culture ainsi que celle de leurs affidés dans sa totalité, se contredit avec le sens de la résistance et du combat dans tout ce qu’il comporte comme sacrifice et spéculation, même si c’eut été une résistance contre la résistance, parce qu’elle n’est édifiée pour aucune lutte, quelle soit la sienne propre ou celle de l’Amérique et d’Israël.
Et cela s’est avéré dans l’échec de la tentative de renversement du gouvernement d’unité nationale et de la majorité législative élue à Gaza, comme cela s’est manifesté à Beyrouth en 2008 au début du mois de mai. C’est la différence qui la sépare par exemple des Forces Libanaises de droite dans le passé.
Ces dernières étaient fascistes « engagées » contre la résistance palestinienne. C’étaient des milices communautaires déterminées non seulement pour tuer et commettre des crimes comme les forces actuelles, mais aussi prêtes à mourir pour un objectif communautaire à l’instar des forces fascistes de droite en Italie et en Espagne durant la guerre civile dans les années trente du siècle dernier. Mais cette forme est révolue, relayé par des forces qui ne s’embarrassent pas de commettre des crimes, mais moyennant des gages.
Certains états arabes ont très vite compris que la devise américaine « Celui qui n’est pas avec nous est contre nous » est sur le point de changer, alors ils ont adopté une posture prudente pour éviter des confrontations, dans l’attente de la cristallisation d’une nouvelle politique américaine.
Quant au régime égyptien, il était lors du changement de la politique américaine fourvoyé dans une bataille contradictoire (contraire) qui consistait à convaincre les Etats-Unis et l’Occident que rien n’était possible sur le plan Palestino-israélien, sans lui, restant impliqué dans cette bataille, vis-à-vis d’une réalité géographique qui impose ce régime à la bande de Gaza.
Cependant, ce régime continue à voir dans l’assimilation de l’Occident de cette vérité, une source à sa force dans l’alignement régional. Il est arrivé au summum de son implication dans le blocus de Gaza et durant la guerre.
Il a profité de la réalité géographique pour réaliser le plus grand regroupement officiel arabe et international possible autour du rôle égyptien. Comme il a profité du suivi de la guerre dans l’imposition d’un dialogue et d’une tutelle qui consiste à donner des conférences entre les commandements palestiniens sur leur devoir et l’intérêt du peuple palestinien. Alors que tout le monde sait bien ce que ressent tout le monde en écoutant ces conférences transmises. La distance étant, la menace de casser les pieds de quiconque viole le blocus et même l’exhortation des Palestiniens quant à leur intérêt national reste une distance assez éloignée.
La nouvelle administration américaine a souvent annoncé qu’elle voyait la région à travers la sécurité israélienne, l’enrichissement de l’uranium en ce qui concerne l’Iran, et aussi la résistance à l’occupation. Elle juge que le droit d’Israël à la sécurité n’est pas lié à la fin de l’occupation. Il est dans son droit d’être en même temps, un état occupant et sécurisé, et dans l’intérêt des Arabes de demeurer calmes dans les camps sous l’occupation et sous le blocus et de suivre les bulletins d’informations autour des négociations et qu’ils fêtent la nomination de Mitchell et se divertissent.
Elle voit que l’autorité palestinienne a prouvé sa capacité à contrôler la sécurité dans la rive pendant la guerre contre Gaza, comme cela convient à Israël qui le considère comme la première moisson sérieuse d’Oslo, et une confirmation de ses déclarations passées à propos de l’absence de sérieux d’Arafat dans la question de la coordination sécuritaire.
La mentalité de l’autorité palestinienne a changé depuis l’assassinat d’Arafat et la mentalité et la conviction des appareils ainsi que la mentalité de coordination après qu’Israël ait cessé d’être un ennemi pour devenir un réel partenaire. Cette autorité mérite le soutien selon l’avis des Etats-Unis et Israël. Sauf que ce soutien recherché ne répond pas aux attentes du peuple palestinien, mais se limite au soutien financier et sécuritaire, et c’est ce qui s’appelle « l’édification de la capacité et de la compétence »
La même administration américaine, voit dans la persuasion des pays arabes à soutenir l’autorité palestinienne, un affaiblissement de l’axe de la résistance, à certaines conditions :
1 Prendre en considération les intérêts des états arabes alliés.
2 Dialoguer avec l’Iran pour le convaincre de stopper l’enrichissement de l’uranium avec de sérieuses allusions coercitives avant le recours à l’option militaire. Et cela nécessite l’édification d’un front Arabo-israélien contre l’Iran. Et également le dialogue avec les pays Arabes « sous influence iranienne » ce qui équivaut à prendre en compte et au préalable, leurs intérêts à un degré défini.
3 Pour définir les intérêts de ces états dans le cadre d’une coopération contre l’Iran d’un côté comme un intérêt israélien, et dans le but de démanteler la cause palestinienne définitivement, il faut instaurer une nouvelle feuille de route régionale.
4 Cette carte régionale doit soutenir « la feuille de route » palestinienne et la sauvegarder en prenant en compte les intérêts de l’Egypte, de l’Arabie Saoudite de la Syrie et d’autres, et cela en clair et en échange bien sûr, de l’abandon de l’Iran et de la méthode de la résistance en Palestine, au Liban et en Irak, en prenant en compte la nouvelle réalité libanaise.
5 Nous sommes donc devant une nouvelle « feuille de route » pour les prochaines années, abstraction faite si elle a été citée dans un texte portant le même titre ou non. C’est peut-être ce qui va résulter des nouvelles initiatives américaines, ça ne sera pas une solution durable ou non, ni un abandon du Golan, mais une nouvelle « feuille de route » qui comporte tout ça. Et peut-être que ce mouvement nous accompagnera à une nouvelle carte et non à des solutions. Et peut-être qu’elle nous occupera le long des années à venir, à moins d’être entrecoupée par de grands événements d’envergure, comme la reprise de la résistance et des guerres.
Pour illustrer nos hypothèses citées plus haut (…) la conférence du Président de la délégation des affaires extérieures John Kerry au centre Brookings à Washington le 4 mars 2009, après une visite à la région qui a comporté l’Egypte, la Jordanie, la Syrie, le Liban, Israël, la rive occidentale et la bande de Gaza.
Kerry est un ex-candidat présidentiel du pôle du Parti Démocrate qui a soutenu Obama très tôt.(…) Et qui considère au début de la conférence que l’élection d’Obama avec son pragmatisme est une nouvelle opportunité pour la région. Bien sûr, Kerry cite les impressions »affectives » de la visite de manière expurgée et calculée selon notre avis.
Et on voit que la » profonde impression » lui a été laissée par la « souffrance » de la colonie de Sdérot durant les huit années passées, en ce qui concerne Gaza, il a insisté sur la destruction de l’école américaine, après son bombardement (nous avons un vrai problème avec les libéraux qui veulent paraître modérés et équilibrés. Ils embellissent la victime lorsqu’ils veulent être solidaires avec une partie et ce n’est pas mieux qu’une fille sur les ruines de l’école américaine à Gaza. Quant à l’occupant, il est toléré dans leur camp tel qu’il est, c’est la victime permanente, assiégée.
Kerry énumère quatre raisons d’espoir, et cela malgré l’élection de Netanyahou et malgré les guerres. Et nous verrons peut-être, qu’il ne souhaite vraiment pas une solution, mais il est optimiste à l’aboutissement possible d’une nouvelle » Feuille de route »
1 La montée de l’Iran a conduit à une « préparation sans précédent des pays arabes modérés à une collaboration avec Israël » et cela conduira peut-être selon son avis à asseoir une base solide pour aller vers la paix. Sinon que la collaboration stratégique Israélo-arabe précède la paix. Là, se pose la question : Quel besoin a Israël des solutions de ceux qui collaborent avec lui stratégiquement contre des ennemis communs ?
2 Kerry insiste sur l’initiative de paix arabe. Son existence constitue une base pour l’édification d’une nouvelle feuille de route régionale. Cette feuille incite « les pays arabes modérés à jouer un rôle plus actif dans la construction de la paix ».
3 Il dit, comme tout militant moyen du Parti travailliste israélien et comme l’a dit Olmert lui-même au journal Yedioth Ahoronoth, lors du fameux débat d’adieu (13octobre 2008) après que son gouvernement eut été décrédibilisée à la Knesseth : que les grandes lignes d’une solution durable demeurent claires. Et le défi réside selon lui, dans la manière d’y arriver. Et d’après lui, il faut édifier la » force et la capacité » de l’autorité palestinienne, dans les domaines économique et sécuritaire, en parallèle à toutes négociations qui conduiraient à une solution durable.
Ce qui retient l’attention ici, c’est que Kerry affirme que les lignes d’une solution durable sont désormais claires, mais il n’ose pas les définir franchement, et l’important c’est qu’il considère essentiel le chemin qui y mène. Nous sommes retournés à : l’initiative est le tout, l’objectif rien du tout, et la vie est négociations.
4 L’élection d’Obama, il y a une opportunité dans l’existence d’une administration qui soutienne les forces modérées et la paix. Il entend, que l’administration précédente, n’a pas offert à ces forces le soutien suffisant en les laissant dans un état de pression et de confrontation avec son environnement sans compréhension de leurs situations et de leurs intérêts.
Nous sommes arrivés à un retournement total dans la position arabe nationaliste qui soutenait que la séparation de la cause palestinienne de sa profondeur arabe est un complot pour sa liquidation. Et la séparation s’est faite à Camp David puis à Oslo avec consentement.
Mais l’autorité palestinienne a échoué intérieurement et extérieurement à l’aboutissement d’une solution avec Israël. Et la conclusion est revenue soudain à la nécessité d’un retour à la dimension régionale, parce que la dimension arabe n’était plus une menace. Et parce que les régimes arabes ont abandonné cette dimension nationale de la cause palestinienne et c’est un retournement total.
De là, d’après nous, Kerry a conclu que la cause palestinienne est une cause régionale qu’il faut traiter selon un plan qui comporterait le restant des causes (affaires). Cela, contrairement à sa séparation dans le passé. Ajoutant qu’il faut considérer cette approximation à cause de la position régionale actuelle de l’Iran : les trois « non » officiels arabes de Khartoum sont révolus, relayés par d’autres contre l’armement nucléaire et contre l’intervention iranienne.
Et Kerry d’ajouter littéralement dans sa conférence « les pays arabes modérés collaborent aujourd’hui avec Israël d’une manière qu’il était impossible d’imaginer il y a quelques années.
Poursuivant, l’administration Bush a mis des lignes rouges plus qu’il n’en faut, dont certaines qu’elle n’a pas pu réaliser. Il veut dire l’interdiction de dialogue avec la l’Iran et la Syrie. Cependant l’administration d’Obama doit concentrer ses efforts sur ce qu’il faut faire et abandonner les querelles secondaires. L’objectif régional, c’est d’empêcher l’armement nucléaire de l’Iran, et pour cela, sans abandonner l’option militaire et selon l’avis de Kerry, il faut dépasser les lignes rouges précédentes.
Par exemple, il faut se préparer au dialogue avec l’Iran sur les intérêts communs en Afghanistan et l’assimiler internationalement en reconnaissant son rôle, en échange de l’arrêt de l’enrichissement de l’uranium. Et il faut dialoguer avec la Syrie pour isoler et affaiblir l’Iran et ses instruments telle que la résistance Libanaise.
Mais il faut solliciter aussi la collaboration de la Chine et de la Russie. Et bien sûr, Kerry ne justifie pas le prix. Pour la Russie, il y a des revendications qui vont du Nord de la Baltique jusqu’au Sud de la Serbie et autour de la mer Caspienne et la mer Noire, Et la Chine aussi. Est-ce que les Etats-Unis vont mécontenter leurs autres alliés dans le monde et les sacrifier pour satisfaire la Chine et la Russie, tout ça dans le but d’encercler l’Iran dans l’intérêt d’Israël ? Kerry ne se fatigue pas trop dans la poursuite de l’enchaînement de ses suppositions.
Il soutient le dialogue avec la Syrie dont il considère réalistes les objectifs. La Syrie a négocié dans le passé avec Israël malgré l’opposition de l’Iran. Naturellement, elle est capable de jouer sur les deux faces pour un certain temps, mais son président comprend, selon Kerry » que en tant qu’état laïc à majorité sunnite sait que ses intérêts sont en Occident et dans le monde Arabe et non avec l’Iran ».
Comme si Kerry voulait maintenant expliquer à la Syrie sa composante démographique. Mais si tels sont ses intérêts, pourquoi elle ne s’en est pas aperçue avant ? Est-ce parce que Kerry n’a pas daigné l’expliquer, ou bien il y a là, rencontre entre la sûreté syrienne et le sens de la sûreté nationale arabe dont les politiques américaine et israélienne et leurs alliés arabes ont contribué à approfondir ? Naturellement qu’il sait que la dernière interrogation est juste.
Et c’est pour cela que l’Amérique ne s’oppose pas à la tentative des alliés Arabes d’accueillir la Syrie actuellement en se gardant de la froisser. Mais cela ne suffit pas, parce qu’il y a des intérêts syriens et arabes, que les Etats-Unis et Israël n’ont pas la souplesse suffisante pour les réaliser.
Donc le dialogue avec la Syrie, reste l’intérêt des deux parties. Et la Syrie joue le jeu parce qu’elle a des intérêts politiques et économiques pour briser l’embargo qui lui est imposé. Bien entendu, il en est parmi l’élite dirigeante (syrienne) qui compte plus sur le dialogue et Kerry le sait, surtout dans le domaine de lier la Syrie à l’économie occidentale, mais cette partie n’est pas encore celle qui décide encore en Syrie.
Où est le commencement ? Il réside dans l’encouragement des Arabes à s’attacher à l’initiative de paix arabe qui n’a eue aucun écho et encouragement qu’elle mérite de la part de l’administration américaine sortante. Et il la résume avec la terre en échange de la paix, la reconnaissance d’Israël et la normalisation des relations. Mais à l’instar d’Israël, il en est encore dans la plupart de ses analyses à considérer la normalisation primordiale sur la paix.
Par exemple, il y a la » feuille de route » du Quartette. Mais la région a besoin d’une « feuille de route régionale », suivie d’une activité qui rappelle l’activité américaine régionale complète d’après 1991. C’est une activité que tous aiment à se rappeler, bien qu’elle n’ait menée à rien sur le plan des solutions arabes.
L’exigence attendue des Pays Arabes, c’est de faire pression sur Hamas pour l’arrêt des tirs de roquettes et d’accepter un gouvernement d’union selon les conditions connues du Quartette. Et à l’Egypte de contrôler la contrebande d’armes et la continuation de l’entraînement de l’appareil sécuritaire palestinien par la Jordanie.
Et dans le cadre de la coordination avec les pays modérés et l’explication à leurs devoirs, une remarque se glisse soudain, dans la conférence dirigée contre le Qatar. Kerry dit : » Le Qatar ne peut pas être l’allié des Etats-Unis le lundi, et le soutien financier du Hamas le mardi ! On sait que certains alliés Arabes de l’Amérique répétaient dans les médias que le Qatar soutenait Hamas alors qu’en réalité il est l’allié de l’Amérique, cela se disait pour mettre en doute son soutien au Hamas, alors qu’il était dirigé contre les Arabes.
Mais lorsqu’il est demandé à un responsable Américain dans une réunion alors qu’il répète tout cela à l’envers, son objectif devient le doute de l’alliance du Qatar avec l’Amérique. Comment se peut-il que le Qatar soit fidèle à l’Amérique alors qu’il soutient Hamas ? Et bien sûr, pour que la dénonciation soit complète sur le mode arabe, on dit qu’il le soutient avec l’argent.
Ce qui est demandé, c’est un soutien économique et sécuritaire à l’autorité. Et cela commence par l’interdiction au Hamas de profiter de la reconstruction de Gaza pour éviter ce qui s’est passé avec le Hezbollah au Liban. Ce dernier avait tiré profit de la guerre et de la reconstruction en même temps.
La seule démarche que propose Kerry en échange de tout ce qui est demandé aux alliés arabes, c’est de travailler sérieusement pour imposer le gel de la colonisation à Israël, reconnaissant de l’aveu des administrations successives, que la colonisation est un obstacle à la paix resté encre sur papier.
Nous rappelons ici que l’administration Obama est plus intransigeante au sujet du Darfour contre le Soudan que l’administration Bush. Parmi ses principaux groupes de pression, des milieux qui incitent les africains noirs contre les Arabes , c’est un fait simple avec certains africains compte tenu de la mentalité des forces arabes dirigeantes ( Et cette incitation, est également sa stratégie fondamentale contre le congrès de Durban) Elle invente une alliance libérale africano-sioniste, et considère la supposée « extermination des peuples » au Darfour un élément d’acier contre les Arabes. Et parmi les représentants de ce lobby du Parti Démocrate, la déléguée permanente aux Nations-Unis, Suzanne Rice.
Peut-être que le cadre exposé plus haut sert dans sa description critique de la conférence de Kerry, à comprendre l’offensive américaine actuelle sur la région et à comprendre certaines actions arabes à caractère conciliateur. Mais on est obligé de retourner aux questionnements exposés au début de l’article sur la stratégie des forces partisanes à la révision de la méthode de normalisation dans toute sa totalité, jusqu’à une période courte les circonstances lui étaient favorables et non aux forces de normalisation.
Azmi Bishara
SOURCE : aljazeera.net
Traduction : Mohamed Marhoum