Indigènes de la République

Vous serez toutes et tous les bienvenus ! N’hésitez plus !

Venez discuter, échanger des idées et des infos, exprimer votre soutien voire même vos critiques (si elles sont amicales, c’est permis), boire un petit café, et, éventuellement, vous engager et adhérer au PIR.

Ceux d’entre-vous qui vivent ou travaillent à Saint-Denis n’ont aucune excuse…

Des permanences sont assurées à notre local 4 jours par semaine :

– lundi : de 17h à 20h

– mercredi de 17h à 20h

– vendredi : de 17h à 20h

– samedi : de 14h à 19h

PIR : 81 rue Gabriel Péri, Saint-Denis (Metro : Saint-Denis/Portes de Paris ou Basilique de Saint-Denis. Le RER n’est pas loin non plus)

Pour accéder au plan, cliquer sur le titre.

Nous proposons, à toutes celles et ceux qui voudraient s’engager d’une manière ou d’une autre dans la construction du PIR d’adhérer. Beaucoup d’entre vous souhaitent s’investir pleinement là où ils sont en participant à la création d’un collectif local ou en rejoignant un collectif déjà existant. D’autres, au contraire, n’ont ni le temps, ni la possibilité matérielle (vie de famille, travail, précarité) d’assurer une participation régulière à la construction de cette force politique. C’est pourquoi, pour répondre au mieux à vos disponibilités, notre règlement intérieur prévoit deux formules d’adhésion adaptées à vos disponibilités.
La démarche pour nous rejoindre est très simple. Il vous suffit de remplir le formulaire de demande d’adhésion ci-dessous.

Votée en 2001, la « loi Taubira », qui qualifie l’esclavage de crime contre l’humanité – donc imprescriptible -, a été en partie vidée de sa substance. Notamment en ce qui concerne le volet sur l’indemnisation des Etats et des descendants d’esclaves.

NOTRE PRIORITÉ, UN LOCAL AUTONOME

Cliquer sur le titre pour en savoir plus.

www.russelltribunalonpalestine.org

« Ça ne va pas se passer comme ça ». Le réalisateur franco-algérien Rachid Boucha reb est publiquement averti.

Rassemblons nous à la Place de La Nation. En mémoire de nos ancêtres, comme chaque année. Pour exiger Réparations de ce crime contre l’Humanité. Pour que les descendants des victimes prennent pleine part à la rédaction des manuels scolaires portant sur la traite négrière transatlantique. Pour que les archives relatives à cette période tragique, soient enfin accessibles.

«Un peuple Digne, ne peut exister sans Mémoire»

7 mai 2002, une date qui restera à jamais gravée dans ma mémoire. Un homme est entré dans notre appartement. Il a abattu mes parents, a grièvement blessé mes deux petits frères et s’est ensuite donné la mort. Des funérailles officielles ont été organisées en présence de milliers de personnes et de nos élus politiques. Nous nous étions tous dit « plus jamais ça ». Mes parents nous lançaient un dernier appel que je n’ai eu de cesse de relayer : « Faites que notre départ ne soit pas vain et que l’avenir soit celui d’une harmonie entre tout les citoyens libérés des dangereuses idées meurtrières » El Hajji Habiba et Isnasni Ahmed.