Diverses voix se sont élevées pour dénoncer « un drame de la misère, et de la solitude ». Nous soulignons quant à nous, que c’est aussi le drame de l’indifférence et de l’irresponsabilité politique qui a conduit à limiter toujours plus les places d’hébergement d’urgence. Ces jeunes, qui, pour la plupart ont contribué « aux printemps arabe » dans chacun de leur pays et notamment en Tunisie, se sont heurtés à l’implacable « réal politique » française et européenne de l’immigration, qui d’une part, glorifie « le désir de liberté de ces peuples » et d’autre part laisse périr dans les flammes du mépris et de l’indifférence ceux-là même qui ne demandaient qu’à vivre libres et dignes dans le pays « des droits de l’homme ».
Nous ne les oublierons pas !
Le bureau fédéral de la F.T.C.R.