Archives de catégorie : Houria Bouteldja

Son escasos los grupos eternamente leales y fieles a organizaciones políticas que no sirven a sus intereses. Desde ese punto de vista que es un punto de vista materialista, las poblaciones que provienen de la inmigración y de los suburbios no tienen por qué seguir siendo fieles a la izquierda. Y tienen razón. Su error no es liberarse de la izquierda. Su error es pasar de un amo a otro. Cambiar de tutor. Su error en este caso es elegir lo fácil. Huir de los caminos de la autonomía.

Di rado si è visto un gruppo che ha promesso fiducia e lealtà eterne a delle organizzazioni che non fanno i loro interessi. Da questo punto di vista che è un punto di vista materialista, le popolazioni discendenti dall’immigrazione e dei quartieri popolari non hanno nessun motivo per rimanere fedeli alla sinistra. E hanno ragione. Il loro torto non è di essersi liberati dalla sinistra. Il loro torto e di essere passati da un padrone all’altro. Di cambiare solo di tutore. Il loro torto ora, è di scegliere la facilità. Di disertare le strade dell’autonomia.

A group rarely vows eternal loyalty to political organizations that do not serve that group’s interests. From this materialist point of view, populations coming from immigration or from the popular neighborhoods have no reason to stay loyal to the Left. And they are right. Their fault lies not in freeing themselves from the Left. It lies in the fact that they are going from one master to another; of changing guardians. Their mistake is that they chose the easier path, and avoided the paths of autonomy.

Après la décision du Tribunal de grande instance de débouter les 13 citoyens de leur plainte contre l’Etat, leur avocat, Félix de Belloy, a déclaré: «Cette décision ne fait que confirmer que les contrôles d’identité restent encore en France une zone de non-droit». Même son de cloche chez Houria Bouteldja, présidente du parti des Indigènes de la République, qui constate, par ailleurs, qu’«il n’y a aujourd’hui aucune raison de penser que les contrôles au faciès ont reculé depuis l’arrivée de François Hollande à l’Elysée».

« Notre génération donc, de même que la génération précédente, a voulu donner à ses enfants tout ce qu’elle n’avait pas pu avoir. Ce faisant, nous avons parfois oublié que – je cite de nouveau Andy – « la bataille que nos aînés ont menée avec les ‘limites’ leur a insufflé la force de nous élever comme des hommes et des femmes ». Cette force est notre véritable héritage. Elle ne doit pas être trahie pour le plat de lentilles yankee-occidental. » James Baldwin[1]