Nous savions ce que cela voulait dire. Il allait intervenir, comme il a toujours fait, pour protéger les droits des profiteurs capitalistes à exploiter férocement.
Après 26 jours de grève générale, loin de répondre aux revendications légitimes du peuple guadeloupéen massivement présent dans la rue, mais aussi dans les négociations à travers ses représentants, le LKP, l’État français a chargé violement des hommes et des femmes en grève.
Plusieurs dizaines de gréviste ont été interpellés, deux ont été hospitalisés dont un responsable du LKP.
Le PKLS condamne fermement ces violences policières et demande la libération sans condition de tous.
Le PKLS affirme sa totale solidarité avec les victimes de la répression coloniale mais aussi avec l’héroïque lutte du peuple guadeloupéen pour faire aboutir ses justes revendications.
Le PKLS demande aussi au peuple Martiniquais de prendre toute sa place dans la lutte actuelle que mène le « Collectif du 5 février ».
SOLIDARITE GWADLOUP – MATINIK
ANSANM, ANSANM, NOU KÉ PWAN YO
Martinique 16 février 2009
Pour le PKLS
J. P. ETILE