« Djemila n’a pas besoin de se cacher (les seins) ». C’est une femme libérée et farouche. Elle « met du bleu sur ses yeux, de la fièvre sur ses lèvres » et, « loin de Khomeyni, elle imite Adjani ». Le matin elle est fait du jogging dans un short en satin. Du coup, « l’Algérie, le croissant », tout ça…elle n’a « pas le temps ». Elle s’habille chez tati, et évidemment en « mini » (jupe) qui « la dévoile sensuelle ». Comme toute beurette qui se respecte « le Coran en ce moment, elle l’aimerait tolérant, moins austère, moins collant, moins colère, moins amer ». Djemila ne lit pas » mais rebelle « elle échappe à ses frères » car « y’a le rock qui est plus fou ».
Et puis faudra pas oublier les parents : des figurants, bons à servir le thé !
Un document précieux pour celles et ceux qui s’intéressent à la sociologie souchienne!
Les Blédardes du PIR