Cela, les pouvoirs et les élites en place ne nous le pardonnent pas car, non seulement, ils n’ont pas pu nous transformer en porteurs d’eau, nous museler, nous terrifier, nous faire ramper, mais, au contraire, le caillou dans la chaussure que nous sommes touche une partie des quartiers, fait des émules chez les indigènes de France comme au niveau international, fissure l’unanimité du monde blanc et de la gauche en particulier.
C’est pourquoi les plus grands défenseurs de l’ordre occidental s’unissent, droite et gauche institutionnelles confondues, surfent sur les drames des 7, 8 et 9 janvier pour, encore et encore, nous réduire au silence via une campagne odieuse et diffamatoire.
Nous ne pouvons laisser passer la gravité des accusations portées contre nous, accusations qui non seulement visent à détourner nos dénonciations légitimes de l’Islamophobie, mais aussi à préparer le terrain à une action policière et judiciaire, à une délation généralisée qui se prétend consensuelle, contre de nombreux espaces de luttes dont le PIR et ses militants dans la droite ligne de la répression lancée contre les expressions des quartiers populaires, et notamment des jeunes, qui refusent le dictat d’une prétendue union sacrée et de sa pensée unique.
Pour pouvoir résister, pour pouvoir contre-attaquer, il faut que chacun des Piriens, que chacun des sympathisants du PIR, que chacun de ceux qui estiment que le moment est crucial, se mobilise, se donne et nous donne les moyens d’agir car le PIR n’est pas qu’une force de résistance, mais est une réelle force de construction d’une alternative politique, économique, culturelle et sociale décoloniale.
Pour dessiner, concrètement et quotidiennement, une autre société, il est important d’investir pour un projet politique que l’on choisit.
Pour pouvoir résister face à la disproportion de moyens entre notre organisation et ceux de l’alliance politico-médiatique montée contre nous, pour pouvoir contre-attaquer notamment sur le terrain de la Justice, il faut nous donner les moyens de fonctionner, de développer nos activités et de préserver notre autonomie
Le PIR veut être libre ! Pour être digne de ceux qu’il veut représenter, pour être fidèle au message qui est le sien, pour agir conformément à la morale qu’il défend, le PIR doit être financièrement autonome. Il ne peut compter que sur ceux qui le soutiennent.
L’autonomie a un prix, notre dignité aussi !
Alors, nous ne faisons pas appel à des dons, même s’ils seront toujours les bienvenus, mais à un soutien et à un engagement financier sur la durée. A un engagement à un versement mensuel sur 1 an ou plus. Que ce versement soit de 5, de 10, de 50, de 100 € ou plus, peu importe. Ce qui est important pour nous, c’est de faire face, c’est de pouvoir disposer de façon certaine, mois après mois, de ce qui nous permettra de payer les frais de justice, d’avocat, de communication que nous devons engager immédiatement et que certains feront déferler pour mieux nous étouffer.
Ce qui est important, c’est de savoir que vous nous soutenez et que vous nous soutenez concrètement.
Le PIR est AVENIR !
Vous pouvez nous faire parvenir vos dons en :
- Envoyant un chèque à l’ordre de « Indigènes de la république », à l’adresse suivante : Indigènes de la république, 39 avenue Walwein – 93 100 Montreuil.
- Opérant un virement sur notre compte bancaire : Numéro de compte bancaire international (IBAN) : FR76 4255 9000 0821 0292 6160 656 Code BIC : CCOPFRPPXXX
- Virement électronique Paypal. Il y a un bouton prévu pour cela en page d’accueil de notre site (juste à droite). Vous verrez c’est très simple et ultra sécurisé.
PIR